Je prend enfin le temps de vous présenter ma dernière cousette de 2013 et première de 2014, la robe Ginger issu du tout nouveau magazine de couture « La Maison Victor ». J’ai découvert ce magazine grâce à la communauté IG mais aussi grâce aux revues de presse que l’on peut trouver sur la blogosphère notamment chez Sakiko Jones. Fin décembre, j’ai écumé de nombreuses presses avant de trouver le Graal ! Quasi toutes les robes me plaisent mais j’ai choisi pour une première (et en fonction des tissus en stock) la robe Ginger dont les détails du décolleté dos et des manches m’ont tout de suite plu !
D’habitude, lorsque je souhaite coudre un modèle, j’écume la blogosphère à la recherche d’inspiration mais surtout de bons conseils d’autres blogueuses pour ajuster quelques petites imperfections du patron, choisir la bonne taille,… Mais là le magasin étant assez récent, je ne trouvais aucune autre version. Quelques jours ont passé et j’ai découvert la version rouge et goutte dans le dos de Petits Bonheurs dans mon Atelier, elle est superbe et en plus elle n’a fait aucune modification sur le patron. Je me suis donc lancé à mon tour 😉
J’ai choisi de rester sur ma taille habituelle de confection soit 38 (+ marges de couture) sans tenir compte des mensurations (les miennes vont du 34 au 38 selon leur tableau), j’ai rallongé la robe de 5 cm (je mesure 1,70 m) pour qu’elle soit « bureau -compatible ». Elle est cousu dans un molleton fin des Coupons de Saint Pierre, tout doux, fluide, très agréable à coudre (même qualité que le petit ensemble corail de Noël). Niveau personnalisation du modèle, j’ai rajouté la poche de la Ginger V2 dans une chute de molleton moutarde avec un passepoil maison en Liberty Betsy Porcelaine ainsi qu’une patte de boutonnage décorative agrémentée de boutons recyclés d’un vieux gilet Be You K. La parementure intérieure a été cousue à la main car même avec une sous-piqûre elle ne tenait pas en place.
L’encolure devant du patron ne correspond pas à la photo du modèle ou alors c’est moi qui ai buggé au recopiage mais j’ai pourtant bien vérifié à plusieurs reprises grrr, elle est beaucoup plus ras de cou, j’ai retaillé le patron de 2 bons centimètres puis redessiner la parementure, j’ai également raboté les épaules devant qui étaient beaucoup plus larges que celles de derrière. Au niveau des explications, j’ai trouvé assez curieux l’assemblage des manches après l’assemblage des côtés de la robe, j’ai suivi les explications mais je m’en suis énormément vu pour les monter et j’ai dû recommencer 2 fois… Pour la prochaine j’assemble les manches avant les côtés. Comme vous pouvez voir sur les photos j’ai inversé le croisement des manches Arggg !!! et je n’ai vu que bien trop tard, comme ça ne choque pas une fois portée et d’ailleurs je ne l’ai pas vu malgré les nombreux essayages en cours de montage, je laisse comme ça tant pis, pas le courage de remonter les manches. J’espère un jour arriver à la couture parfaite, aucun défaut sur ma réalisation ! bon c’est le charme du homemade aussi les petits défauts 😉
J’ai trouvé le t-shirt moutarde parfait chez le fournisseur suédois ainsi que des collants assortis pour pouvoir la porter dos couvert au bureau, avec les Gola en Liberty Betsy Porcelaine le total look qui pique un peu les yeux mais moi j’adore ! Des photos où l’on aperçoit même mon visage, vais-je réussir à me dévoiler un peu plus sur le blog en 2014 ?
Sweat Molleton gris chiné (Coupons de Saint Pierre) – Sweat Molleton Miel Doré (Vêtements Marins) – Liberty Besty Porcelaine (Minibouille)





D’autres photos des petits détails sont visibles sur mon compte Flickr (accessible en cliquant simplement sur les photos).
Bilan plutôt très positif de cette première réalisation du magazine « La Maison Victor », d’autres réalisations devraient voir le jour dans les prochaines semaines mois, en attendant je file m’occupe des défis à terminer pour le 31 janvier, à savoir :
– Le défi robe Aime comme Mon Petit Bazar lancé par Les Escargots à l’Opéra,
– Le défi Plantain de Deer & Doe, ne passez pas à côté de ce super patron offert par Éléonore !
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